Tu me commence,
tu me pense.
Je t’arrive,
je te ivre,
je te livre.
Tu me aime,
tu me haine,
tu me sème.
Je te soupire comme un livre,
je te sourir comme une lyre,
je te vivre comme un vertige.
Tu me prisonne comme un poisson,
tu me bouche comme un frisson.
Je t’absente, je te silence de mes sens.
Mais toi tu me présence de mon manque.